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Dans Journalistes, monographie de la presse parisienne, Honoré de Balzac avait la dent dure en 1843 pour notre corporation.

Je me demande s’il ne faut pas le relire quand il écrit notamment:

Les propriétaires-rédacteurs-en-chef-directeurs-gérants de journaux sont avides et routiniers. Semblables, eux et leurs feuilles, au gouvernement qu’ils attaquent, ils ont peur des innovations, et périssent souvent pour ne pas savoir faire des dépenses nécessaires et en harmonie avec le progrès des lumières.

La situation a-t-elle vraiment changé?

Le texte intégral est disponible au format pdf (550ko). Merci aux éditions du Boucher.

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