Elise Colette

Du print au web, et vice versa

Ma philosophie

Je crois en la capacité de chacun à trouver sa voie dans l’évolution de notre métier de journaliste. Le numérique, il ne faut pas en avoir peur, il faut apprendre à l’apprivoiser. Il ne nous mangera pas, bien au contraire. Il nous aidera à concocter de bons petits plats.

Mon expérience

Journaliste de presse écrite, formée à l’ancienne (avant 2000, quoi !) à Sciences Po et à l’Université de New York, j’ai adopté le web dès son apparition. Je l’ai d’abord utilisé en tant que journaliste pour faire mes enquêtes et reportages, avant qu’il devienne un nouveau média en tant que tel pour l’entreprise pour laquelle je travaillais. Ainsi j’ai mis en place la ligne éditoriale de JeuneAfrique.com et fait grandir l’équipe qui le gère. Depuis 2015, je donne des formations au sein des rédactions, pour aider les journalistes à franchir le cap de la transition numérique. En 2020, je suis devenue directrice adjointe de la stratégie digitale de Public Sénat.

Mes réalisations marquantes

Mettre en place puis faire vivre efficacement une rédaction web (celle de Jeune Afrique) est ma réalisation la plus marquante et la plus longue. J’ai aussi réalisé quelques diaporamas sonores et des vidéos. Je suis passionnée de photos et, depuis quelques temps, de photo mobile (ma dernière expo sur les meetings de la campagne 2017 est ici).

Réalisation du podcast A Parte qui invite, toutes les semaines, un.e professionnel.le de l’information à parler de l’une de ses réalisations.

Mes publications

Le travail de manager est « invisible pour les yeux ». :) Et il empêche pas mal d’écrire aussi. Néanmoins, en tapant mon nom dans Google, vous devriez trouver quelques pistes pour me débusquer. Pour les fainéants, il y a mon site de photo, mis à jour quand j’ai le temps, mes comptes Twitter et Instagram.

Mes ambitions

Accompagner d’autres rédactions et beaucoup d’autres journalistes dans la mutation numérique. Découvrir et peut-être inventer de nouvelles manières de travailler et retrouver le lien que nous avons perdu avec nos lecteurs.