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Internet, le téléphone mobile et les réseaux sociaux remodèlent les rapports entre pouvoirs et citoyens, la position et le rôle des corps intermédiaires, la circulation de l’information et la construction des mobilisations sociales ou citoyennes. Ce constat qui vaut pour la France et les pays occidentaux en général est aussi valable en Afrique.

C’est ce constat qui a conduit CFI (l’agence française de coopération médias) à confier à Samsa.fr la réalisation d’une étude sur les civic tech. Menée dans 4 pays (Bénin, Kenya, Sénégal et Tunisie) au cours de l’été dernier, cette étude met en lumière la multiplication des initiatives qui utilisent tout le potentiel des nouvelles technologies pour favoriser la transparence et la redevabilité des pouvoirs publics ainsi que pour accroître la participation citoyenne à la décision publique.

Initiée par un recensement des initiatives civic tech dans chacun des pays de l’étude, le travail s’est poursuivi avec l’envoi d’experts dans les 4 pays pour y conduire des entretiens approfondis avec les acteurs de la scène civic tech. Ce travail a abouti à la production d’un rapport complet présenté le 13 novembre à Paris.

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Auteurs :
Direction éditoriale : Philippe Couve (Samsa)
Coordination éditoriale : Edem Gbetoglo (Samsa.fr)
Expert méthodologie : Jocelyn Grange
Expert (Sénégal, Bénin) : Cédric Kalonji
Experte (Kenya) : Françoise Mukuku
Experte (Tunisie) : Sana Sbouai
Recherchiste (Sénégal) : Lucrèce Gandigbe
Recherchiste (Bénin) : Antoine Osé Coliko
Recherchistes (Kenya) : Elizabeth Orembo et Mwara Gichanga
Recherchiste (Tunisie) : Sana Sbouai
Édition : Ange Kasongo (Samsa)

Une étude labellisée par Digital Africa

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